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Peut-on ouvrir ce produit pour consommer directement son contenu ?

Nous ne recommandons pas d’ouvrir les gélules car, selon la sensibilité de chacun, le curcuma présent dans la formule peut entrainer de légers troubles gastriques. Cependant, l’ouverture des gélules n’impacte pas l’efficacité.

Si vous souhaitez tout de même les ouvrir, il est possible de consommer uniquement l’intérieur dans un yaourt, un fromage blanc ou encore une compote. La poudre contenue dans les gélules est peu soluble, il n’est donc pas recommandé de la mélanger à l’eau.

Je suis suivie pour ma thyroïde, puis-je prendre NucléOx ?

Certains aliments, lorsqu’ils sont consommés en très grande quantité, inhibent la captation de l’iode par la glande thyroïde, ce qui empêche la fabrication des hormones thyroïdiennes. On les appelle les aliments goitrogènes, car ils peuvent à terme causer un goitre. Les aliments goitrogènes sont les crucifères (le chou de Bruxelles, le chou, le chou-fleur, le brocoli).

En cas d’hypothyroïdie, nous vous conseillons de consulter un professionnel de santé avant la prise de Nucléox car celui-ci contient entre autre du brocoli et du curcuma, ingrédients du complexe Natural Spectra.

Qu’est-ce que la N-acétyl-L-Cystéine (NAC) utilisée dans Nucléox ?

La N-Acétyl-L-Cystéine est un dérivé de l’acide aminé L-Cystéine qui entre dans la composition du glutathion, molécule endogène impliquée dans de nombreuses réactions dans l’organisme. Nous l’utilisons préférentiellement dans ce complément alimentaire, car il représente le facteur limitant : c’est lui qui conditionne notre propre fabrication de glutathion.

En résumer, la N-Acétyl-L-Cystéine stimule notre production de glutathion.

Pourquoi la NAC (N-Acétyl-Cystéine) est mieux que le glutathion lui-même ?

Le glutathion est une grosse molécule peu assimilable par notre organisme contrairement à la N-Acétyl-Cystéine qui est une petite molécule, précurseur du glutathion, ainsi mieux assimilée.

Quelle est la différence entre les antioxydants primaires et secondaires ?

– Un antioxydant primaire est généralement une enzyme endogène (produite par l’organisme) qui a la capacité de neutraliser un très grand nombre de radicaux libres. Par exemple la Glutathion Peroxydase (GPx) et la SuperOxyde Dismutase (SOD).

– Les antioxydants secondaires sont des molécules simples (polyphénols, vitamines, minéraux) neutralisant 1 seule molécule oxydée.

Les antioxydants primaires et secondaires n’agissent pas sur les mêmes molécules oxydées, il se complètent pour permettre de neutraliser au mieux les différents types de radicaux libres. Nous associons donc ces deux types d’antioxydants dans la formule de NucléOx.

Qu’est-ce qu’un radical libre ?

Un radical libre est une molécule issue de l’oxydation de nos cellules. Sa formation est favorisée par plusieurs facteurs : UV, stress, pollution, alimentation déséquilibrée, tabac, sport intense, etc.

C’est une molécule instable et chimiquement réactive. Elle n’aura de cesse de capter ou céder un électron à une molécule environnante, provoquant ainsi une réaction en chaîne. Ce phénomène peut conduire au vieillissement des tissus de l’organisme, notamment ceux de la peau.

Qu’est-ce que le stress oxydatif ?

Toutes nos cellules utilisent de l’oxygène. En s’oxydant, elles rejettent des radicaux libres que l’organisme neutralise grâce à des antioxydants.
À défaut d’antioxydants, les radicaux libres s’accumulent et peuvent endommager les cellules en provoquant leur vieillissement accéléré : c’est le stress oxydatif.

Pour lutter contre ce phénomène, il est nécessaire de veiller à consommer suffisamment d’antioxydants (fruits et légumes : choux, raisin…) et d’essayer de limiter les situations à l’origine d’une surproduction de radicaux libres : expositions aux UV, à la pollution, tabagisme, stress, alimentation déséquilibrée…

Qu’est-ce que la glycation ?

Après le stress oxydatif, la glycation est la 2e cause de vieillissement prématuré de nos cellules. Elle est liée à un excès permanent de sucre dans l’organisme, lequel finit par réagir avec les protéines selon une réaction dite de MaiIllard : une sorte de « caramélisation » des protéines.

Cette réaction, irréversible, rigidifie les protéines, ce qui entraine la perte d’une partie de la fonctionnalité des cellules et des organes : paroi des vaisseaux, rétine, neurones, reins, tendons, ligaments, articulations, etc. Autrement dit, un excès de sucre peut avoir un impact sur le vieillissement cellulaire, d’où l’intérêt d’en limiter sa consommation, mais sans l’interdire, car seuls les excès sont préjudiciables.