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NICORETTESPRAY - Spray Buccal Menthe Fraîche 1 mg - 2 x 150 doses

JOHNSON & JOHNSON Marque : JOHNSON & JOHNSON CIP 7 : 2241067

29,89 €
2 299,23 €/L

Nicorettespray 1 mg de JOHNSON & JOHNSON vous permet de soulager rapidement votre manque de nicotine !
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Description

Page mise à jour le 08/01/2024 à partir de la base VIDAL

Ce médicament aide les fumeurs à se désintoxiquer du tabac. La solution apporte dans le sang par l'intermédiaire de la muqueuse buccale, la nicotine, principale substance active du tabac, responsable de l'accoutumance.
Dans l'optique d'une désintoxication définitive, l'arrêt du tabac est une condition nécessaire au succès du traitement.
Des précautions sont nécessaires en cas de maladie cardiaque grave (infarctus du myocarde récent, angine de poitrine d'aggravation récente, angor de Printzmetal, troubles du rythme cardiaque grave, accident vasculaire cérébral), d'ulcère de l'estomac ou du duodénum, d'hyperthyroïdie, de phéochromocytome, de diabète, d'insuffisance rénale ou d'insuffisance hépatique. Dans ces situations, une consultation médicale préalable est indispensable avant d'utiliser ce médicament ; un arrêt du tabac sans traitement de substitution peut être nécessaire.
La nicotine est une substance toxique. Ne laissez pas le flacon à la portée des enfants. L'usage de ce médicament est réservé aux adultes de plus de 18 ans (en l'absence d'études).
Ce médicament peut être en accès direct dans certaines pharmacies et être utilisé sans consultation médicale. Néanmoins, n'hésitez pas à faire valider votre choix par votre pharmacien. Ses conseils sont précieux. Il pourra vous aider à déterminer le meilleur moment pour arrêter de fumer et vous expliquera les causes d'échec.
La nicotine prise par voie orale en remplacement de la cigarette présente la même nocivité cardiovasculaire que celle qui est contenue dans le tabac. Seul le risque de cancer du poumon disparaît. Lorsque l'arrêt du tabac est motivé par des raisons médicales urgentes : infarctus récent, artérite, gastrite ou ulcère, il est préférable d'arrêter l'absorption de nicotine sous toutes ses formes.
Comme toutes les méthodes antitabac utilisées pour aider les fumeurs, ce médicament ne peut être efficace que lorsque la volonté d'arrêter de fumer est personnelle et s'accompagne d'une forte motivation. C'est cette motivation qui permettra de lutter contre l'envie de fumer, sans être forcé de faire en permanence appel à la volonté qui s'émousse avec le temps. Un arrêt du tabac durable chez le fumeur suppose que celui-ci considère le tabac comme un poison, une dépendance inacceptable. Il doit se faire à l'idée qu'il ne fumera plus jamais, dès le début du sevrage. Chaque jour sans tabac doit être vécu comme une libération, et non comme un calvaire. Le fumeur qui est dans cet état d'esprit est un bon candidat au sevrage définitif.
L'arrêt du tabac, qui est une véritable drogue, induit de nombreux problèmes : une prise de poids est fréquente, des troubles de la concentration peuvent durer plusieurs semaines. Un état dépressif léger est possible. La prise de poids doit être combattue par un régime, et si possible par un programme sportif qui a l'avantage de réconcilier le fumeur avec son corps.
N'hésitez pas à consulter votre médecin en cas de difficulté ; ses conseils et son expérience seront précieux pour lutter contre les rechutes.
Les produits contenus dans la fumée du tabac peuvent accélérer la vitesse d'élimination de certains médicaments, la théophylline notamment. Lors de l'arrêt du tabagisme, ces médicaments peuvent voir leur effet renforcé et des signes de surdosage peuvent apparaître. Contactez votre médecin au moindre doute.
La solution doit être pulvérisée dans la bouche en évitant les lèvres. Pour une meilleure efficacité, il faut éviter d'avaler sa salive dans les secondes qui suivant la pulvérisation.
En pratique, il est utile de connaître les signes de sous ou surdosage pour adapter la posologie après quelques jours de traitement :
  • le surdosage aboutit à l'état du fumeur qui a trop fumé et se traduit principalement par un état nauséeux et des maux de tête. Des troubles de la vue ou de l'audition, un tremblement, des vertiges sont également possibles ;
  • un sous-dosage provoque des symptômes de manque : irritabilité, nervosité, crampes d'estomac (sorte de faim douloureuse), difficulté de concentration.

Posologie usuelle:

  • Adulte : pendant une première phase de 6 semaines, faire une pulvérisation chaque fois que le besoin de fumer se fait sentir, soit en général 1 ou 2 fois par heure. Si l'envie persiste après quelques minutes, renouvelez la pulvérisation. Ne pas dépasser 2 pulvérisations par prise et 64 pulvérisations par jour.
    Une deuxième phase, qui dure habituellement 3 semaines, correspond à une diminution de moitié du nombre de pulvérisations par jour.
    Il faut ensuite continuer pendant quelques semaines à réduire le nombre de pulvérisations, jusqu'à désaccoutumance complète.
Ne pas dépasser 6 mois de traitement continu.
 p pulv 
Nicotine 1 mg 
Alcool 
Propylèneglycol 

Grossesse :
Le tabagisme chez la femme enceinte peut être à l'origine d'un retard de croissance du fœtus. L'arrêt du tabac est donc toujours souhaitable. Chez les femmes fortement dépendantes à la nicotine, l'usage de ce médicament peut être une aide, mais les effets de la nicotine seule sur le fœtus sont mal connus. Ce médicament a l'avantage de ne pas exposer le fœtus aux autres toxiques présents dans la fumée du tabac. En résumé : si l'idéal est de ne pas fumer et de ne pas exposer le fœtus à des apports de nicotine, l'usage de ce médicament est un moindre mal par rapport au tabac.

Allaitement :
La nicotine passe dans le lait maternel, l'allaitement est déconseillé pendant le traitement.
Au cours des premiers jours de traitement, irritation de la bouche ou de la gorge et hoquet sont particulièrement fréquents. Ces effets s'atténuent habituellement à la poursuite du traitement.
Très fréquents (plus de 10 % des cas) : nausées, digestion difficile, salivation excessive ou au contraire bouche sèche, sensation de brûlure des lèvres, maux de tête, troubles du goût, inflammation de la muqueuse buccale.
Fréqents (1 à 10 % des cas) : vomissements, diarrhée, ballonnements, gorge serrée, fatigue.
Peu fréquents (moins de 1 % des cas) : fourmillements, larmoiement, palpitations, bouffées de chaleur, essoufflement, nez bouché ou qui coule, éternuements, gingivite, inflammation de la langue, sueurs, éruption cutanée, démangeaisons, enrouement, voix éraillée.
Rarement : vision floue, troubles du rythme cardiaque, réaction allergique.

Les informations relatives aux précautions d’emploi ainsi que la posologie sont détaillées par la notice du médicament consultable ci-contre

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